Le Marin. LInfarctus. (3/3)
Après être tombé dans une ruelle de Chicago, jai été emmené dans une camionnette auprès de mon ange aux yeux bleus que jai décidé dépouser.
Vous êtes revenu parmi nous, tout va bien, tout sest bien passé, vous avez un cur tout neuf.
Reposez-vous ?
Je repasse dans quelques minutes, en attendant dormez.
Mon ange, il mest impossible de dormir, jai commencé à écrire mes mémoires, jai plus de 60 ans, un infarctus est si vite venu et toutes ces femmes de ma vie disparaîtront.
De qui je parlais, à oui, Christine que jai épousée et Brigitte sa mère qui ma tout appris sur le sexe et les positions.
Tout, même à me faire asperger chaque fois que je lai prise comme elle aimait et qui chaque fois menvoyait des petits jets de cyprine étant une femme fontaine.
Les draps se souviennent, car chaque fois quelle trompait mon beau-père pendant quil était au travail, elle changeait les draps au point quun jour elle ma dit quil avait trouvé étrange quil change de couleur presque tous les jours.
Jusquau moment où je lui avoue le dépucelage de sa fille avec en prime 9 mois de grossesse, dans les derniers jours de permission qui me reste, je la prends partout sur les tables, dans leurs toilettes, la baignoire impeccable, car cela nous évite le nettoyage et jusque dans le jardin la dernière fois entre nous par une belle journée ensoleillée.
Vous voyez, je suis revenue, je suis sûr que je vous ai manqué, on va refaire le pansement, votre triple pontage, cest bien passé, vous avez des artères toutes neuves, vous allez pouvoir recommencer à faire tourner la tête des filles.
Jai une question, pourquoi vous taisez vous, vous êtes muet, rien ne vous empêche de parler !
Je lui parle tout le temps, je lui raconte ma vie avant de lépouser, car je suis honnête et je souhaite quelle sache, quelles femmes lont précédé dans ma vie.
Miquette, je me souviens, cest pour elle que je suis descendu de Valencienne après mêtre inscrit sur Internet sur un site qui sappelle aux amis de Miquette et qui a reçu de la mairie lautorisation de mettre une plaque commémorative sur le mur en face de lentrée de larsenal près du bar les cinq parties du monde rappelant celle qui a dépucelé tant de jeunes matelots.
Ange, il faut que je me lève, lorsque je suis tombé, je devais être à 10 heures en face de la porte de larsenal pour quune petite cérémonie ait lieu pour cette petite femme par la taille mais si grande par le cur.
Mes femmes, la grande femme du capitaine qui semblait le tromper avec les matelots quelle prenait en stop à la sortie de Toulon pour les amener dans une pinède près du Castelet.
Au fil des années qui a suivi, les motifs de cette femme aimant se faire baiser par des jeunes hommes comme moi ayant un pompon sur la tête dans sa voiture me restent obscurs mais très précieux, car cest la première chatte qui ma été donnée de pénétrer et ainsi de lui offrir mon pucelage.
Et il y a Christine en deux étapes la première une seule fois lorsque je lai dépucelé et après les bons moments avec Brigitte.
Brigitte, sa mère qui pour protéger sa fille avec un peu de retard ma tout appris de ce quaiment les femmes dans les jeux de lamour et surtout du sexe.
Et bien sûr Christine 2 avant quelle suive son amant.
Christine que jépouse au troisième mois de grossesse son ventre dans sa robe blanche commençant à sarrondir, mais qui dans ces années-là était primordiale afin que la jeune fille soit considérée comme une jeune fille sage et éviter dêtre prise par une, Marie couche-toi là pour employer une expression à la mode et éviter de dire pute.
Pute, elle la été, car jai eu une femme qui sur mes sollicitations et ce que sa maman mavait appris à accepter de se donner sans aucune retenue.
Elle avait en elle tous les gènes de Brigitte et rien ne la rebutait, allant même jusquà me solliciter pour que je la sodomise.
Je devrais dire comme elle me la dit.
Chéri, encule-moi !
Alors quelle était placée sur notre lit de noces en levrette mon fils déformant son corps qui dans la position faisait tendre son ventre vers le bas.
Jétais content de sa demande, car comme tous les jeunes futurs papas, javais peur de faire mal au bébé en la baisant dans la chatte.
Pendant tout le reste de sa grossesse, cest comme cela que jai déchargé mon foutre dans son anus sauf une fois ou jai ripé et que mon vite a retrouvé sa vulve sans que je me rende compte du dérapage et où elle a crié son plaisir comme jamais elle la fait avec moi.
Elle ma rendu heureuse jusquau jour où le ciel mest tombé sur la tête et quelle ma quitté.
Voilà les femmes de ma vie.
Pour être complet je dois parler de la maîtresse que jai eue pendant mon mariage.
Bonjour Ange, vous avez de beaux yeux !
Jai profité de ce quAnge soit penché sur mon corps après avoir défait mon pansement pour lui faire ce compliment.
Edith, cest bon, regarde, il me parle, jaime beaucoup ce compliment, mais je doute quil ait retrouvé toute sa raison, il mappelle Ange, pourtant si je regarde bien sûr ma blouse, il y a marqué Isabelle.
Monsieur, je mappelle Isabelle.
Sur sa blouse, ces ses nichons qui sont libres sous sa blouse que jadmire depuis que je suis réveillé et pour moi son vrai prénom à peu dimportance, car elle sappelle Ange.
Leffort fait pour dire cette première phrase est suffisant pour que, les pensées reviennent vers cette femme de diplomate qui a réussi à me faire renier mon serment le jour de mon mariage dêtre fidèle.
Cest à lambassade de France à Lomé au Togo où nous faisions escale et où je me suis retrouvé de tiers de corvée à faire de la figuration pendant que notre commandant entouré de son état-major nous obligeait à venir que, lorsque les discours ont été finis que cette jolie femme sest rapprochée de moi.
Immédiatement jai pensé à la femme à la DS de la pinède près de Toulon qui aurait pu être sa sur qui ma demandé si je mamusais.
Je dois partir, vous maccompagnez.
Les discours terminés et surtout la Marseillaise jouée nous obligeant à nous mettre au garde-à-vous, nous étions libres de nos mouvements.
Cest dans une voiture du corps diplomatique quelle ma entraînée dans sa villa après avoir prévenu son mari de son départ.
Je lai entendu sexcuser mais quil avait encore des obligations avec la réunion sur la situation au Togo dont il devait discuter avec tous nos officiers.
Dans sa villa sans se gêner devant ses boys, je lai vu enlever sa robe en toile et me faire voir quelle avait été à notre pince-fesses entièrement nu.
Elle a plongé dans la piscine, minvitant à la suivre.
Jai enlevé mon pantalon blanc à pont et ma chemisette de la même couleur.
Javais un slip kangourou de larmée impossible à montrer à une dame de son rang aussi avec le pantalon, je lai enlevé et je lai rejoint nu comme elle.
Une femme et un homme nus dans une piscine, la femme venant vous prendre dans ses bras votre poitrine contre la sienne à vous la frotter et une langue qui entre dans votre bouche et qui tourne comme une toupie finie immanquablement malgré vos bons sentiments sur le matelas où elle doit se faire bronzer avec votre verge qui lui déchire la vulve.
Comme ma belle-mère me la apprise, je la quitte créant une frustration de labandonner à la limite de son plaisir pour mieux rejoindre son clitoris et lui sucer une nouvelle fois à la limite de décharger, pour la mettre en levrette pour la prendre dans sa chatte pour mieux labandonner pour tenter la sodomie quelle accepte avec envie.
La chance que jaie mon salaud, javais bien vu que tu avais une tête libidineuse et que tu me ferais grimper au rideau.
Tu es aussi bon amant quOman le boy de mon mari qui me la met dès quil est parti à son travail, la sienne est plus grosse et plus longue, mais il sen sert sans fioritures comme toi.
Omar vient, jai besoin de toi.
Omar, semblant attendre lappel de sa patronne arrive devant nous aussi noir que nu.
Allonges-toi sur le matelas petit, je mempale sur ta bite si bonne pour mon intimité et Omar va menculer, vous allez méclater.
Pour la première et dernière fois de ma vie, je sens la bite de ce noir ayant une tête de plus que moi se frotter contre ma bite me procurant une sensation jamais retentie et la salope prise en sandwich semble apprécier cette double pénétration et qui fait entendre à tout le quartier résidentiel quelle se fait ravager son vagin et son anus.
Omar, merci à vous, raccompagne le matelot jusquà son bateau, petit, tu resteras dans ma vie comme lun des meilleurs moments que jai passé.
Fier comme le coq que je suis, je monte en voiture et à cinq cents mètres de chez cette belle femme, nous croisons une voiture du C.D où à larrière japerçois le cocu magnifique.
Voilà, je peux me lever et sortir de lhôpital où Isabelle mexplique tout ce qui mest arrivé, il y a presque trois mois après ma chute dans la ruelle où jespérais retrouver lambiance de ma jeunesse avec Miquette, la première femme à mavoir sucé la queue à la fin des années 60.
Cest au bras de ma femme, non future femme que je sors de lhôpital pour aller récupérer mes affaires à mon hôtel qui mattendent depuis mon accident.
Cest sur les hauteurs de Toulon juste au pied du funiculaire qui monte vers le musée du débarquement quelle a son appartement.
Cest dans le parc que nous nous sommes dit, je taime. Comme moi, elle est divorcée, car son mari buvait et la frappait.
Je vais lui donner toute la quiétude quelle mérite quoiquelle refuse de quitter son travail me rendant jaloux quun autre patient tombe amoureux de ses yeux bleus.
Question sexe, mon cardio qui est son copain et qui dîne souvent chez nous avec sa femme ma donné quitus de faire ce que je voulais après mon pontage, mes examens montrent que jai un cur dun jeune homme de vingt ans.
Isabelle par chance est démoniaque lorsquelle se donne et adore que je sois très prévenant dans mes rapports avec elle.
À non, elle me fait faire quelque chose quaucune autre ne ma demandé, lorsquelle est en levrette sur notre lit, elle adore que je lui claque les fesses jusquà ce quelle soir rouge et quelle soit obligée de rester debout pour dîner ou pour manger après ces séances de plus en plus souvent renouvelées.
Enfin et jarrêterai là mes confidences, chaque dimanche, même si la pluie tombe, nous descendons jusquen face de la porte de larsenal faire un coucou à la plaque que notre association a dévoilé à la gloire de Miquette pour après nous être souvenue rejoindre le quai aux souvenirs mangés chez Gaëtano pères et fils.
Mais bien loin malgré la saveur de leurs pizzas de celle que je mangeais chez le père voire le grand-père dans leur minuscule restaurant situé non loin du théâtre et où le patron haut en couleur laissait régulièrement brûler un morceau de pâte à pain dans son four à bois dégageant des odeurs des pays du soleil.
Et que dire de ses pieds-paquets divins et moelleux à souhait que nous dévorions lun après lautre ayant des appétits dogre.
Cest cela le bonheur, jen suis sûr
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